Les Techniques Permettant de Finir les Figures Nauruennes
(1 partie)
Les jeux de ficelle de l´île du Pacifique
Nauru (Nah-oo-roo) sont souvent
cités comme les motifs les plus complexes
jamais créés. Cinquante sont illustrés
dans le livre de Jayne. Le livre sur Nauru
de Honor Maude inclut des instructions
pour en réaliser, beaucoup plus.
On pourrait supposer que les méthodes
de construction nauruenne sont
complexes et difficiles à posséder,
mais en réalité, elles sont assez simples.
Il y a dix années, Joseph D´Antoni a
écrit un article pour le Bulletin d´ISFA
appelé "Variation sur les figures de
l´Ile Nauru." Dans ce dernier, il a
démontré que les figures classiques
nauruennes commencent typiquement
avec les mouvements qui créent le
centre du motif:
Une fois le centre formé, une séquence
finale est appliquée pour ajouter des
diamants flanqués et faire en sorte
que la figure soit plus facile à étendre.
D´Antoni montre, combien divers
commencements peuvent être
combinés avec divers séquences finales,
pour créer des douzaines de motifs
compliqués avec très peu d´effort:
Dans le livre sur Nauru de
Honor Maude, quatre séquences finales
traditionnelles sont décrites avec
exactitude, mais pas illustrées. Et
donc, la plupart des figures classiques
restent inaccessibles aux débutants.
Dans ce numéro du
magazine du jeu de ficelle nous illustront
trois des quatre séquences finales:
Petit Amwangiyo, Amwangiyo et
la Fin Nauruenne. Un diamant simple
à doubles murs a été sélectionné en tant
que motif central du design. Nous
avons aussi fourni des indications,
sur comment appliquer efficacement
l´Extension Caroline à un motif
final, pour que la figure fleurisse
vraiment sur vos mains.
Dans le numéro de Septembre, nous
illustreront la quatrième séquence
finale (Eongatubabo), aussi bien que
plusieurs autres techniques, qui sont
utilisées pour réaliser les classiques
Nauruennes.
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