Les Techniques permettant de Finir les Figures Nauruennes II
- Par isfa
- Le 31/03/2013
- Dans Septembre 2004
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(2 partie)
Dans le livre de Honor Maude sur les
jeux de ficelle de l´Ile de Nauru,
quatre séquences finales
traditionnelles sont décrites, avec
exactitude, mais pas illustrées. Et
donc, la plupart des figures classiques,
restent inaccessibles aux débutants.
Dans le numéro de mars, nous
avons illustré trois des quatre techniques
finales que les Nauruens emploient,
pour ajouter des diamants flanqués,
au motif central du design de leurs
figures, à savoir Petit Amwangiyo,
Amwangiyo et la Fin Nauruenne.
Dans ce numéro, nous terminons
notre rapport des techniques finales
nauruennes, en illustrant la séquence
Eongatubabo. Une fois le centre de
la figure formé, Eongatubabo,
typiquement, ajoute un diamant à
doubles murs de chaque côté de
celui-ci. D´abord, la séquence semble
longue et difficile, mais une fois
maîtrisée, les mains achèvent le
mouvement en moins de 5 secondes,
employant un grand, continu et
gracieux mouvement.
ordre qui est communément rencontré,
dans les instructions de Honor Maude,
pour réaliser les jeux de ficelle nauruens.
Bien qu´en principe ce n´est pas une
technique finale, il joue malgré tout
un rôle important en optimisant
l´extension de beaucoup de motifs
puisqu´il crée de petits "longes" qui
aident à arrimer le design central
aux ficelles inférieures et supérieures
du cadre, que le joueur essaie de
séparer le plus largement que
possible durant l´extension finale.
C´est pour cette raison qu´elle est
illustrée ici pour aider les débutants
à maîtriser les classiques du
répertoire du jeu de ficelle nauruen.
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